Vous aimez le luxe, les magnifiques demeures royales et… la solitude ? Vous êtes peut-être fait pour travailler pour la famille royale la plus people d'Europe… Parmi les postes à prendre avant le 9 juin, celui d'organisateur d'événements.
Chaque jour, la famille royale britannique met à jour ses offres d'emplois. Cuisiniers, femmes de ménage, nounous, ou encore organisateurs d'événements sont autant de fonctions à remplir à Buckingham Palace mais aussi dans les nombreuses demeures détenues par les Windsor à travers la Grande Bretagne. Pour se faire, l'agence de recrutement Sylver Swan, dirigée par Philippa Smith, se charge de repérer l'aiguille dans la botte de foin, non sans difficulté.
L'organisateur d'événements sera bien payé, mais devra vivre caché !
« Le candidat idéal aura précédemment travaillé dans un établissement hôtelier cinq étoiles, si possible dans le privé. Toute qualification ou formation en plus de son expérience sera un avantage », explique Madame Smith. Mais, affirme-t-elle, aucun diplôme spécifique n'est requis pour se présenter aux postes à pourvoir. Cependant, certaines écoles, comme celle de Nordland à Bath, propose une formation spéciale « Royal Nanies » (nounous royales). Aujourd'hui, c'est la reine Elizabeth II en personne qui recherche un organisateur d'événements capable de se charger de la mise en place de ses nombreuses Garden parties en se basant, bien sûr, sur le fabuleux carnet d'adresses de l'octogénaire la plus populaire du pays.
L'heureux élu sera payé 27.000 £ par an, soit 34.129 €, ce qui, en soit ne représente pas une somme exorbitante. Cependant, il pourra bénéficier des avantages des employés de la reine en profitant d'un logement au palais, de la piscine et des terrains de tennis et de squash mis à leur disposition.Une condition à cela : interdiction formelle de révéler sa situation à qui que soit, et c'est écrit noir sur blanc sur le contrat, précise Madame Smith. Les réseaux sociaux sont bien entendu à bannir pour le personnel de la maison royale. Une situation un peu contradictoire avec l'image du communiquant véhiculée par le métier d'organisateur d'événements…
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