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La plateforme Privateaser face à la crise

Privateaser

Les acteurs online du secteur, Privateaser inclus, essaient tant bien que mal de survivre à la crise du coronavirus. Pour ce spécialiste de réservations en ligne de bars, restaurants et salles de location, s'adapter et innover sont les deux mots d'ordre. Nicolas Furlani, cofondateur de la plateforme se confiait à frenchweb.fr, voici les grandes lignes de cet échange.

Pour rappel, Privateaser désigne une startup créée 6 ans bien avant cette crise, en 2014. Elle s'engage à simplifier le secteur événementiel, notamment en fournissant les meilleures adresses pour tous les types de manifestation. De ce fait, elle veille principalement à aider les gens à se rencontrer. Ce qui est totalement le contraire de la situation actuelle, selon Nicolas Furlani.

Des solutions à plusieurs phases face à la crise pour Privateaser

Le cofondateur de Privateaser confirme que la crise a provoqué une situation difficile vu que toute l'activité de l'événementiel s'est figée. La startup décide cependant de la gérer au mieux aussi bien humainement que stratégiquement. La première phase était donc de sauver la boîte. Cela fait référence à la gestion de la trésorerie, la limitation des dépenses, les négociations avec les banques et investisseurs, etc.

Privateaser garde le contact avec ses clients

Malgré la crise, Privateaser veillait à garder le contact avec ses clients en les appelant continuellement. La plateforme voulait connaître leurs problèmes et savoir comment les aider pour améliorer la situation. Selon Nicolas Furlani, « maintenant on travaille main dans la main ». Tout cela permettait à l'équipe de déterminer comment adapter la stratégie à la situation

Le plus important était de rester fidèle à l'une des valeurs fondamentales de la startup : rester un partenaire essentiel du secteur. Malheureusement, la crise a contraint Privateaser de mettre en -by ses projets à l'international.

Qu'en est-il de l'avenir ?

Une lueur d'espoir surgit lorsque les demandes des particuliers reprennent en septembre. Les gens veulent retrouver une vie sociale et sortir à nouveau, même si la mise en place des événements est plus difficile avec la distanciation sociale. Mais la dynamique a été cassée mercredi dernier, lorsque les sites ont dû fermer à 22 h. 1 personne sur 3 serait quand même prête à faire la fête de 18 h à 22 h. Pour Nicolas Furlani : “c'est toujours mieux que rien”. 

Du côté des entreprises, les organisateurs demeurent perplexes tant qu'aucun protocole sanitaire rassurant n'est pas mis en place. En tout cas, les demandes de renseignements reprennent puisque les organisations ont désormais besoins de recharger la cohésion de leur équipe.

Nicolas Furlani reste très pessimiste pour les 3 prochains mois. Néanmoins, cela laisse largement le temps pour reprendre une nouvelle année 2021 en force. 

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