La conférence virtuelle devient pratique courante depuis la pandémie du Coronavirus. C’est un moyen pour les professionnels de poursuivre leur programmation, mais aussi d’exploiter de nouvelles manières de procéder. Avec la hausse du nombre de planificateurs qui penchent de plus en plus vers le format en ligne, des pratiques standards commencent à prendre forme.
Le développement de l’événement virtuel figure probablement parmi les rares points positifs de cette crise sanitaire devenue économique. Puisque le public ne peut sortir pour assister à une manifestation en direct, il n’a désormais qu’à se mettre devant son écran et le tour est joué. Si cette alternative s’avère pratique pour certains types d’événements (conférences, réunions, etc.), d’autres, comme les grands festivals, ont du mal à s’adapter.
[bzkshopping keyword= »vidéo projecteur » count= »2″ template= »grid »]Les organisateurs de conférence virtuelle se mettent sur la même longueur d’ondes
Les professionnels de l’événementiel se tournent désormais vers la conférence virtuelle et autres catégories de manifestation en ligne. Cependant, plusieurs planificateurs ont des questions sur les meilleures pratiques et les normes de l’industrie. Le nouveau rapport de 62 pages du cabinet de conseil en formation continue Tagoras est un bon point de départ.
L’enquête se base sur un sondage auprès de 361 répondants et des entretiens avec des organisateurs de réunions virtuelles. Le rapport fournit des données sur un large éventail de sujets de conférence virtuelle, des évaluations de l’apprentissage et des prix au taux de fréquentation moyen. Les parrainages ainsi que des études de cas mettent aussi les résultats en contexte.
Plusieurs conclusions se mettent alors en évidence. 43,8 % des conférences en ligne ne tirent aucun revenu des sponsors ou des honoraires des exposants. Seuls 15,2 % des organisateurs ne facturent pas aux membres inscrits d’assister à la session. Un peu plus de la moitié des répondants ont déclaré que leur participation à une conférence virtuelle était inférieure à celle d’un événement en face à face comparable.
En ce qui concerne le prix, 30,4 % des organisateurs facturent le même montant. Les autres facturent “un peu moins” (39,1 %) ou “nettement moins” (30,4 %). Les plateformes de réunion virtuelles sont omniprésentes en termes de fonctionnalités et d’adoption. Sur les 24 fournisseurs d’événements virtuels cités dans l’enquête, seuls trois d’entre eux, Zoom, GoToMeetings et ON24, avaient été utilisés par plus de 10 % des répondants.
Pour retrouver l’étude complète, c’est à cette adresse.
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