Pour la reprise des événements en direct, la Meeting Industry Association (MIA) a mis en place l’accréditation AIM Secure. Le but étant de garantir au public que les sites qui en bénéficient offrent un environnement sûr pour les réunions et autres manifestations. Jusqu’à présent, cela est un véritable succès. Les demandes se succèdent.
Alors que les événements virtuels continuent de prendre de l’ampleur, les fidèles au format en face à face se préparent pour une reprise en force. Néanmoins, quelques changements de procédures s’incrustent dans les anciennes pratiques de planification. Il faudra désormais adopter de nouvelles normes d’hygiène. D’où la mise en place de l’AIM Secure par la MIA au Royaume-Uni.
AIM Secure : pour une réouverture en toute sécurité
L’AIM Secure est une accréditation nationale de qualité renforcée pour les sites proposant des protocoles vitaux de prévention et de contrôle des infections. Il fait partie du programme de soutien du MIA pour aider le secteur dans ses préparatifs de réouverture.
Cette initiative met en évidence le dévouement des sites événementiels à faire de leur mieux pour leurs clients ainsi que leur personnel. Ce qui assurera un événement de qualité professionnelle en toute sécurité pour toutes les parties prenantes. Pour atteindre la nouvelle norme, les entités devront remplir plus de 60 % des critères.
Jane Longhurst, PDG de la MIA, déclare : “nous avons été ravis de la réponse des hôtels et des sites à travers le Royaume-Uni. Ils apprécient clairement la nécessité d’aider à rassurer les acheteurs d’événements. Lorsque nous recevons le feu vert, ils fonctionneront en toute sécurité”.
« Près de 50 sites ont déjà atteint la nouvelle norme rigoureuse annuelle AIM Secure. Ceux qui sont actuellement en cours de processus devraient bientôt augmenter ce chiffre à 100. Ce qui démontre la qualité de leurs salles de réunion et d’événements, leur engagement à offrir un environnement sain et hygiénique, ainsi que leur prestation de services et leur conformité à la législation. Au cours des 12 mois, on pourrait leur demander de permettre à nos évaluateurs d’examiner leur espace”.
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