La monétisation, une des grandes problématiques des événements virtuels, a été évoquée au cours de l’Event Tech Live. Ce dernier est un grand salon mondial des technologies événementielles se déroulant en ligne du 2 au 6 novembre. Les intervenants ont également essayé de répondre à la question : a-t-on réussi à trouver un format attrayant pour les visiteurs ?
Au cours de cette séance, de grands noms du secteur expriment leurs opinions, partageaient leur expérience. C’était le cas de Stephan Forseilles d’Easyfairs, Stuart Ledden directeur marketing chez Tarsus et Matthias Tesi Baur, PDG de MBB-Consulting Group. Mykyta Fastovets de la société de technologie ExpoPlatform présidait la session. En tout cas, il faut plus que des activités efficaces pour des événements virtuels réussis. La monétisation, le retour sur investissement et d’autres aspects sont aussi importants.
Un long chemin à parcourir pour la monétisation des événements virtuels
Avec la pandémie du coronavirus, les événements virtuels ont connu une émergence fulgurante. Malgré la rapidité des entreprises événementielles à effectuer la remontée depuis mars, rien n’est encore acquis. Il y a beaucoup de spectacles et une avancée majeure dans le concept, mais en matière de monétisation, tout reste à faire.
Selon Stephan Forseilles d’Easyfairs : « nous ne pouvons pas organiser un salon professionnel comme nous le faisions il y a un an. Au moins maintenant, nous avons plus de liberté pour essayer des choses.”
Lorsque nous parlons de monétisation, il peut s’agir de micropaiements plutôt que de grosses factures. Cela peut aussi se représenter par une inscription à un événement. “Les deux sont très nouveaux dans notre industrie”, déclare Tesi Baur. “Nous devons donc nous demander quelles sont les compétences qui nous manquent ? Que manque-t-il pour récolter ces moyens de gagner de l’argent ?” Apparemment, les questions s’entassent, mais les réponses restent à trouver.
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