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Événementiel : l’un des domaines le plus stressants au monde

Stress métier de l'évènementiel

Pour la 6e année consécutive, l’événementiel a été classé comme étant l’un des domaines d’activité les plus stressants au monde. Est-il possible de changer cela ?

Si l’on vous parle d’activité professionnelle stressante, vous imaginez plutôt un métier à risques, comme pompier, policier, pilote d’avion ou militaire. Qui suspecterait que celui d’organisateur d’événements soit classé au 5e rang mondial ? C’est ce qui ressort d’une étude publiée par CareerCast. Pourtant, à y regarder de plus près, ce n’est pas si difficile à croire si l’on considère certains facteurs tels que les nombreux déplacements, le contact avec le public, les échéances et les imprévus, bref, l’énorme pression physique et psychologique qui pèsent sur les épaules des organisateurs événementiels.

Stress évènementiel

Une bonne communication dans l’événementiel réduit le stress

Organiser un événement demande une attention accrue et une grande capacité de coordination et de synthèse. Les demandes et les besoins de chacun doivent être pris en comptes et pour y répondre au mieux, sans commettre d’impairs ou d’oublis, il faut être réactif et « partout » à la fois. Une mauvaise communication entre les divers acteurs d’une telle organisation peut réellement provoquer le stress du coordinateur. C’est pourquoi un plan de communication interne doit être élaboré avant même de commencer le gros du travail d’organisation. Chaque personne de l’équipe doit connaître son rôle et avoir la possibilité de communiquer avec collègues et supérieurs. Le coordinateur, qui supervisera le processus, pourra ainsi être plus attentifs à ses clients et contenter ses fournisseurs en étant à leur écoute tout en faisant montre de sérénité et d’assurance.

La pression physique est psychologique dans l’événementiel

En tant qu’organisateur, vous vous devez de tenir des échéances : la satisfaction de milliers de personnes en dépend ! Le poids de l’enjeu pèse donc lourd sur l’état physique du coordinateur qui est souvent le premier sur place et le dernier parti, travaillant sur des amplitudes horaires de 12h à 16h parfois, en s’alimentant à peine et en oubliant même d’assouvir ses besoins primaires ! Mais plus que les échéances, le pire ennemi de l’organisateur événementiel est lui-même : perfectionniste voire minutieux, scrupuleux et persévérant, il se doit de posséder qualités qui peuvent cependant devenir des défauts à trop les pousser à l’extrême. Il est donc bon de se demander, à quelques heures d’un événement, s’il est vraiment utile de relancer l’impression d’un programme pour une erreur d’espacement. Un exemple parmi d’autres qui mettent en lumière la complexité et l’amplitude de domaines qui caractérisent les métiers de l’événementiel.

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