Bien que la migration vers l’événement virtuel évite des pertes considérables, elle confronte à des risques majeurs : les pirates et les espions informatiques. Une brèche de sécurité peut entraver le fonctionnement de tout le système de votre événement. Cela mettrait également en danger les informations personnelles de vos participants. D’ailleurs, ces problèmes demeurent l’ennemi majeur de la technologie connectée jusqu’à présent.
Depuis le confinement, les outils numériques en ligne connaissent une montée en flèche de leur utilisation. Il s’agit principalement des plateformes de conférences virtuelles, cours en ligne, live streaming, etc. Cependant, avec l’accroissement du nombre d’utilisateurs, les systèmes de sécurité de ces plateformes ne sont plus infaillibles. En tant qu’organisateur, vous devez assurer la sécurité de votre événement et de vos participants.
Les espions s’introduisent facilement sur les plateformes
Les plateformes de vidéoconférences ne s’attendaient pas à une telle augmentation de leur utilisation en si peu de temps. Ils n’ont donc pas eu le temps d’améliorer leur système de sécurité avant cette hausse. De ce fait, la sécurité des séances est souvent minime. Il est alors facile pour les espions de s’introduire dans les réunions organisées dessus. Les utilisateurs, eux, deviennent de plus en plus minutieux quant aux questions de sécurité des données et des informations.
Récemment, la plateforme Zoom a été victime d’un “Zoombombing”. Les pirates avaient pris le contrôle des écrans pour afficher des images violentes ou pornographiques. De plus, cet incident a démontré que certaines vidéoconférences commerciales sont non sécurisées sur Zoom. Voilà un exemple concret qui devrait pousser les planificateurs d’événements virtuels à engager un personnel de sécurité informatique compétent. Ainsi, vous pouvez tester les plateformes avant chaque projet pour éviter tout problème.
Il est primordial de sécuriser votre événement en ligne. Time.com a révélé dans un rapport que des espions de Chine, de Russie et d’ailleurs tentent de s’introduire dans les réunions organisées sur les plateformes publiques. Certains ne perturbent point l’événement, ils se contentent de voler des informations de l’entreprise, de l’association et même du gouvernement.
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