Eventbase figure parmi les entreprises ayant enduré gravement la crise de la Covid-19. Alors que d'autres ont dû mettre les clefs sous la porte, l'agence a su se redresser. Dans sa résurgence, les clients reviennent pour organiser des événements en personne. Si la sortie de l'eau est encore difficile pour votre entreprise, voici des conseils qui pourraient vous être utiles.
Il n'y a pas de formule miracle pour une sortie de crise. C'est une question de survie et de capacité d'adaptation à la situation, aussi changeante qu'elle puisse être. Au cours des 6 derniers mois, Eventbase a connu une hausse de son chiffre d'affaires. Celui-ci a atteint le double du montant précédent. Ce qui a amené l'entreprise à recruter de nouveaux collaborateurs. Comment a-t-elle fait pour obtenir ces résultats ?
Les principes d'Eventbase pour remonter la pente
Eventbase est convaincu qu'il y a “quelque chose de spécial” dans l'événementiel en direct. Malgré la monopolisation de marché par le virtuel, cette entreprise a gardé foi en son format de prédilection : le présentiel. Dès le retour à la normale, les clients ont aussi eu la même idée. Ils ont été ravis de revenir aux événements en personne.
La récente enquête sur les dépenses des CMO de Gartner a signalé un retour important au marketing événementiel. Après des creux records en 2021, les budgets marketing en pourcentage des revenus de l'entreprise sont passés de 6,4 % à 9,5 % en 2022. Le marketing événementiel et le sponsoring affichent la plus forte augmentation des dépenses.
Mais avant ce retour en force, Eventbase a maintenu un engagement d'équipe élevé et a attiré de nombreux nouveaux membres dans l'équipe. Cela a été possible grâce à sa volonté de réinventer son style de travail et de renouveler la culture de l'entreprise. Jeff Sinclair Co-fondateur et PDG d'Eventbase donne plus d'explications à ce sujet :
“En plus d'adopter le travail à distance et les modalités de travail flexibles, notre équipe profite des « vendredis sans réunion ». Nous avons également une quinzaine de 9 jours donnant à presque tout le monde un vendredi de congé sur deux. Ce qui équivaut à 26 longs week-ends supplémentaires chaque année”, souligne-t-il.
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